Le rapporteur spécial et le ministre ont démontré les efforts consentis par l'État, par le Gouvernement et par le Président de la République pour prendre en considération ce drame et pour déployer progressivement l'action de la puissance publique afin d'y apporter une solution.
On peut toujours dire que ce n'est pas assez. Cependant, essayons de sortir de la suspicion. Le rapporteur spécial a avancé des pistes qu'il faut suivre pour tenir compte de tous les effets de ce drame.
L'action de l'État est conséquente et cohérente ; laissons-la se déployer. Je demande donc à ce que l'on suive l'avis du ministre, car il faut prendre acte du fait que ce drame est enfin reconnu.