En complément de ce qu'a dit mon collègue, je voudrais insister sur le fait que les territoires ultramarins et leurs entreprises subissent encore très fortement la crise sanitaire et ses conséquences économiques et sociales. Il est donc logique qu'en 2022 le PDOM continue d'être mobilisé davantage qu'en situation normale.
Par ailleurs, la majeure partie du tissu entrepreneurial ultramarin est en difficulté et devra donc encore faire appel aux aides pour passer le cap de la crise, dont les effets vont perdurer sur plusieurs exercices budgétaires. C'est donc pour se conformer au principe de sincérité budgétaire que ces amendements prévoient une augmentation de crédits du PDOM de 20 millions d'euros.