Cette question doit tous nous rassembler, parce que l'accès à l'eau potable est une question humaine. Elle est politique, bien sûr, mais pas seulement. Accéder à cette demande serait un geste fort. Sur ce sujet, on ne peut pas faire son Ponce Pilate et – pardonnez-moi le jeu de mots – s'en laver les mains ; c'est indigne. On ne m'accusera pas de faire campagne pour l'un ou l'autre parti, puisque tous les députés d'outre-mer, sur tous les bancs, convergent concernant cette question.
C'est la différence entre décider pour nous et décider avec nous. Nous connaissons les réalités de nos territoires, nous les vivons au quotidien.