…nous proposons donc de taxer à 50 % le surplus de bénéfices réels réalisés pendant la crise, au regard du résultat sur la même période l'année précédente. Je précise que cette taxe s'applique aux entreprises de plus de 500 salariés qui réalisent un chiffre d'affaires supérieur à 750 millions d'euros – vous voyez que nous n'exagérons pas.
J'ajoute qu'une mesure exceptionnelle de cette nature a déjà été prise dans le passé – nous vous l'avons dit à de nombreuses reprises –, par exemple en 1916.