Si nous constatons des dommages collatéraux provoqués par des dispositions retenues en 2019 avec le CIIC, il faut les corriger. Il n'est pas normal que des structures puissent bénéficier d'un crédit d'impôt et, ensuite, d'un mécanisme d'exonération – général, quant à lui – lors de la revente. Il faut corriger ce dispositif, dans le cas présent, afin de rétablir la sérénité, l'égalité et la justice. Le mécanisme est biaisé et certaines personnes se sont précipitées pour en profiter. Ce n'est pas admissible car ce n'était pas l'intention du législateur, à laquelle nous devrions revenir ; nous pourrions la retrouver dans les débats de l'époque. Aujourd'hui, nous devons corriger le dispositif. Les députés Les Républicains voteront ces amendements comme ils l'ont fait en commission des finances.