S'agissant du cinéma, me semble-t-il, c'est un rapport qui est remis au Parlement. Il ne s'agit donc pas de rendre publics les agréments fiscaux.
J'ai tendance à être d'accord avec vous sur la nécessité d'un parallélisme des formes – il n'y aurait aucune raison de s'y opposer – mais dans ce cas, il faudrait donc trouver les moyens de demander à l'industrie phonographique de remettre un rapport au Parlement, dans les mêmes conditions que ce qui est fait par l'industrie cinématographique. Demande de retrait.