Il ne vise pas à remettre en cause l'augmentation du prix du tabac en Corse mais à retarder le rapprochement progressif des droits de consommation appliqués sur l'île avec ceux du continent, de façon à permettre aux buralistes – qui vont perdre beaucoup de recettes touristiques sur le tabac – et à la Macotab – l'une des rarissimes entreprises du secteur secondaire en Corse – de se préparer à un choc qui s'annonce difficile. J'ai déposé cet amendement à la demande d'une partie du personnel de la Macotab – une quarantaine d'emplois sont en jeu.