Nous avons eu ce débat en commission. La suppression de la taxe d'habitation, décidée par la majorité et à laquelle j'étais opposé, ne concerne pas les résidences secondaires, mais j'imagine que le but de cette mesure n'était pas de faire peser sur elles une augmentation absolument gigantesque de cette charge. Vous parlez d'égalité, mais nous pourrions donc vous renvoyer l'argument, monsieur Acquaviva.
De plus, les résidences secondaires ne sont pas sorties de terre par enchantement : il s'agit souvent de l'ancienne résidence principale des propriétaires et de maisons de famille.