On nous dit que le produit global de la taxe – environ 55 millions d'euros, tous aérodromes confondus – serait à peu près stable : non, cela dépendra de la reprise du trafic et du type d'avions utilisés. On ne saurait en aucun cas garantir que le montant restera inchangé. J'ajoute que les taux – qui sont en fait des plafonds – sont modulés selon les aérodromes.
Dans cette affaire, je suis plutôt conservateur. Les compagnies qui ont modifié la composition de leur flotte en s'équipant d'avions beaucoup moins bruyants doivent selon moi être récompensées.