Une personne surendettée peut avoir commis des faits répréhensibles du point de vue du droit fiscal ; ce n'est pas pour autant que, dans le cadre d'un plan d'apurement de ses dettes, il faut retirer au juge la possibilité de les étaler, voire d'en annuler une partie. Voilà ce qui est choquant. On peut même s'interroger sur la constitutionnalité du dispositif. J'estime que vous allez trop loin.