Elle est la conséquence d'une vision globale, en vertu de laquelle on a développé le fait métropolitain. Je ne conteste pas que nous ayons besoin de métropoles fortes dans notre pays, même si, à titre personnel, tant que je siégeais au Sénat, je me suis opposé à leur multiplication – je vous rappelle que nous sommes passés récemment de quinze à vingt-deux, pour des raisons qui n'étaient pas liées à l'aménagement du territoire, je peux y revenir.