Pour l'élection du questeur, je suis saisi de deux candidatures, celle de M. Ugo Bernalicis et celle de M. Éric Ciotti. Il y a donc lieu de procéder à un scrutin dans les mêmes conditions que pour l'élection du vice-président. J'ouvre le scrutin, qui est annoncé dans l'enceinte de l'Assemblée nationale. Le scrutin sera clos à dix-huit heures cinquante.