À la question fondamentale que vous venez de poser, monsieur le député, j'apporterai une réponse très précise. La réforme que nous défendons, pour la simplifier, se fonde sur un constat : il y a quarante ans, on a décidé d'arrêter l'aide à la construction au profit de l'aide à la personne. Cette décision, qui se justifiait alors, fut prise par Raymond Barre.