Nous proposons, en lieu et place de votre cinquième branche vide et non financée, un véritable service public de l'autonomie, qui permette d'atteindre des ratios de soignants par résident mettant fin à la maltraitance institutionnelle, pour ne pas dire gouvernementale.
Nous proposons la création d'un pôle public du médicament, pour assurer la relocalisation de la production des médicaments, en garantir l'approvisionnement et en contrôler les prix en toute transparence, et pour produire des vaccins sous licence d'office.
Nous proposons aussi qu'un ministre de la santé soit présent lors de l'examen des projets de loi de financement de la sécurité sociale à l'Assemblée nationale.