Le pragmatisme de ce gouvernement le conduit donc à dire qu'il faut réfléchir à un mix énergétique qui nous permette tout à la fois d'atteindre nos objectifs en matière de lutte contre le réchauffement climatique – je pense à l'arrêt de nos quatre centrales à charbon, dont l'impact social doit, là aussi, être mesuré et qui nécessitera un accompagnement – et de réduire la part du nucléaire, non pas à 0 %, mais à 50 %, conformément à une trajectoire qui devra être déterminée dans le cadre de la PPE.