À première vue, la volonté de la majorité de rembourser les consultations psychologiques va dans le bon sens : l'objectif est légitime. À première vue seulement : comme moi, vous avez été, je suppose, inondés de courriels illustrant les limites d'un tel dispositif, les psychologues n'ayant semble-t-il été que peu consultés.
J'appelle votre attention sur un point : je m'apprête à commettre un rapport qui se traduira par une proposition de loi contre la désertification médicale, qui sera examinée dans l'hémicycle le 2 décembre prochain.