Je vais le défendre. Mon propos précédent visait à rectifier les erreurs grossières de nos collègues du groupe Les Républicains à propos du bilan des salles de consommation à moindre risque ; nous pensons, comme le collectif d'associations qui nous inspire, qu'il faut renforcer le dispositif existant en consacrant son approche de santé globale et de parcours de santé à travers l'intégration de nouveaux acteurs et actrices ainsi que par la transformation des salles en haltes « santé addictions ».
Les salles de consommation à moindre risque ont été lancées en 2006 pour six ans, après des années de revendications des associations qui œuvrent chaque jour au contact de personnes usagères de drogues. La pérennisation de ces dispositifs, dont les études ont démontré les bienfaits, est très attendue. Les effets positifs de l'ouverture des premières salles à Paris, dans le 10
Nous pensons…