Nous agissons dans la solidarité et l'unité avec les autorités compétentes, sans créer de cloisonnement entre les autorités locales et l'État. Aujourd'hui, vouloir souffler sur les braises n'est pas responsable, car le premier droit des Guadeloupéens est de vivre dans l'ordre public. Et comme toujours, l'ordre public protège tout le monde, particulièrement les plus faibles. Vous êtes mal placés pour critiquer le fait que nous ayons envoyé les forces de l'ordre.