Monsieur le député, merci pour cette question sur un sujet qui a déjà fait l'objet, d'ailleurs, d'une question au Gouvernement cet après-midi. D'abord, vous me ferez l'honneur de reconnaître que je suis moi-même un professeur des universités et que je ne peux bien entendu accepter ne serait-ce que le soupçon que ce gouvernement, ou la ministre de l'enseignement supérieur ou moi-même entretiennent l'idée d'aller à l'encontre de l'intérêt des universités et du service public qu'elles délivrent.