Néanmoins, monsieur le Premier ministre, cette décision va à l'encontre des voeux de la très grande majorité des élus locaux, et à l'encontre même de celui que les citoyens ont exprimé par référendum. Dans les discussions que nous avons avec les citoyens et les élus du Grand Ouest, nous entendons aujourd'hui beaucoup d'incompréhension, voire le sentiment d'avoir été méprisés.