Non, ce n'est pas une banque qu'il faut : les campagnes électorales ne sont pas des marchés solvables. Quoi qu'il en soit, madame la rapporteure, ne sommes-nous pas en train d'errer ? La solution proposée ne me semble pas être la bonne. Avez-vous pris contact avec les grandes banques, le Crédit agricole par exemple ?