Troisième qualité, la compétence des responsables qui ont mis au point un modèle de dépistage.
Quand on a affaire à une collectivité qui a réagi aussi efficacement, aussi justement, aussi pertinemment à un malheur qui nous frappe tous, face à une organisation plus ou moins manipulée par la Chine comme l'OMS, et face à un État qui a des responsabilités énormes dans le déclenchement de la pandémie, on a d'abord un devoir d'humilité, de respect et de reconnaissance de cette contribution sur le plan technique.
La deuxième raison qui me pousse à approuver cette résolution, c'est que ce serait la fin d'une anomalie, d'une sanction injustifiée imposée à Taïwan. De 2009 à 2016, la République de Chine était reconnue comme observateur, elle jouait son rôle. C'est par un caprice qu'elle a été rejetée des instances techniques – j'insiste sur ce terme – des différents organismes internationaux dont il est question ici. Nous sommes heureux de voir la République populaire de Chine prôner désormais le multilatéralisme.