Je pense que c'est la meilleure solution pour avancer sur ces sujets qui vous sont chers et qui nous sont également chers, à toutes et à tous, en débattant calmement, sereinement et en toute humilité. Il nous faut faire un pas de côté : nous sommes législateurs et non médecins. J'en appelle donc à notre responsabilité collective pour défendre un sujet essentiel, le droit des femmes à disposer de leur corps sans être soumises à l'avis des médecins. C'est bien cela qui est important ! Je vous propose donc que nous continuions le débat, comme l'a proposé le groupe La République en marche en faisant poursuivre la navette. Je donne maintenant la parole aux autres groupes ; évidemment, l'avis est complètement défavorable sur la motion de rejet préalable.