C'est aux femmes et à elles seules qu'il appartient de décider personnellement et individuellement si elles choisissent d'avoir recours ou non à l'IVG. Entraver ce libre choix est puni depuis janvier 1993, et depuis 2017 s'agissant de la voie numérique. Partout dans le monde, en ce moment même, des femmes et des hommes se battent au péril de leur vie pour assurer aux femmes le droit de disposer librement de leur corps, notamment de maîtriser leur contraception et leur reproduction. Permettez-moi de leur dire ici, depuis l'Assemblée nationale, que la République française leur adresse son soutien fraternel.