Il vise à élargir les conditions d'octroi d'une déscolarisation d'urgence en cas de harcèlement, en permettant à l'enfant en souffrance d'obtenir une autre solution que la scolarisation dans son établissement.
Cependant, l'article 49 de la loi du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République, en vigueur à la rentrée prochaine, a instauré une concertation obligatoire – qui se traduit dans le décret d'application en attestation – du chef d'établissement pour une déscolarisation d'urgence, ce qui ne permet pas aux familles de protéger efficacement leur enfant en situation de souffrance scolaire.