Je préférerais qu'on fidélise les médecins qui s'installent chez nous et qu'ils y restent. Si on leur impose de rester trois ans dans une zone, mais qu'ils ne désirent que d'en partir, en quoi aurons-nous résolu le problème ? L'intérim prévaudra toujours et les médecins ne feront que passer. Dans la vie, je ne suis pas béate : j'ai moi aussi eu besoin de preuves pour faire évoluer ma position. Nous avançons pas à pas. Nous devrions éviter les polémiques stériles, parce qu'il y a urgence et que nous progressons ; nous trouvons des solutions dans l'urgence.