Il ne s'agit pas pour les députés de surveiller les commissions en question, d'en prendre le contrôle, mais seulement d'être associés à la réflexion sur le terrain. C'est que nous devons être en mesure de défendre au niveau national les aspirations des populations. Si, à partir de 2018, des parlementaires participent aux travaux des commissions DETR, c'est fort bien, même si je comprends qu'on ne doive pas déséquilibrer ces commissions, encore que s'il ne s'agit que d'organismes de réflexion, d'organismes consultatifs, alors allons-y. Reste qu'il nous faut changer les règles du jeu car le député de demain ne sera pas le député d'hier.