Il y a deux mois, je me suis rendu avec quelques députés en Albanie, où je me suis entretenu avec l'ensemble des autorités. Nos interlocuteurs nous ont dit que c'étaient nos lois qu'il fallait modifier et que, pour leur part, ils étaient prêts à accueillir celles et ceux que nous voulions renvoyer chez eux, car leur pays était effectivement sûr et leur volonté était d'avancer vers l'Europe, et non de reculer.