Je ne vais pas répéter une nouvelle fois les mesures de protection que nous envisageons : je craindrais de lasser l'auditoire. Je me bornerai donc à rappeler que l'État a été là pendant la crise économique et que l'État sera là pour protéger les secteurs touchés par le retour de la crise sanitaire et les difficultés liées à la pandémie.
Tous les outils sont sur la table, prêts à être réactivés au cas par cas. Nous sommes sortis du « quoi qu'il en coûte », qui avait vocation à protéger l'intégralité de l'économie française, et nous sommes passés au « quoi qu'il arrive ». Cette formule signifie que, quelle que soit la situation dans laquelle se trouveront les entreprises, nous leur apporterons des solutions.
Je veux prendre un peu de recul pour rappeler que, confrontés à la crise économique la plus grave depuis 1929, qui a provoqué un effondrement de notre richesse nationale, nous avons apporté toutes les réponses nécessaires pour éviter une vague de faillites, éviter une vague de licenciements ,