Je souhaite également insister sur le fait que la question des urgences n'est pas de la seule responsabilité des urgentistes, voire des hôpitaux. Je pense qu'il s'agit maintenant d'un problème territorial d'organisation des soins et qu'il faut impliquer les médecins libéraux, lesquels ne peuvent pas se tenir à l'écart de la réflexion sur l'accès aux soins, notamment la nuit. L'organisation des urgences engage l'ensemble des acteurs de soins d'un territoire, et même les citoyens, notamment dans le cadre de la vaccination antigrippale. Soyons raisonnables !