Vous voyez de quoi je parle. Depuis ce jour-là, les gens, en masse, décident de ne plus aller voter parce qu'ils considèrent que quel que soit le vote, « ils » feront toujours ce qu'ils veulent.
Nous vous proposons de remettre la démocratie au cœur d'un projet républicain, que la parole du peuple soit à nouveau dans l'unité de base de la démocratie qu'est la ville, comme l'a dit Pierre Dharréville, et cela pour un sujet très important, la fusion de la commune, qui touche au plus près les citoyens. Nous proposons que dans cette situation, les gens soient systématiquement consultés.
Quand j'ai entendu, en vous écoutant, les pourcentages obligatoires pour valider le scrutin, je me suis dit que nous devrions peut-être faire la même chose pour l'élection présidentielle.