Dans ce contexte, je ne peux que souscrire aux propos d'un de nos collègues – peut-être les réitérera-t-il ici, dans cet hémicycle – qui estime que « Le numerus clausus n'est qu'un instrument qui empêche les jeunes Français de faire médecine. J'ajoute qu'il a été pensé pour compenser les dépenses.