Il vise à reconnaître l'exercice de la compétence de la métropole sur les zones d'activité portuaires uniquement si celles-ci sont reconnues d'intérêt métropolitain. Aujourd'hui, trente-quatre ports de plaisance se trouvent sur la façade maritime de la métropole et constituent, avec leurs 8 600 anneaux, le deuxième pôle de plaisance en Europe. Si certains ports peuvent relever d'un intérêt métropolitain, qu'il conviendrait de redéfinir, les ports de plaisance fortement liés à l'identité de leur ville doivent être gérés au plus près des territoires. Il s'agit d'une disposition pragmatique pour la gestion la plus efficace possible.