Comme Guillaume Garot le suggère très bien avec son texte, il s'agit non pas de déconventionner les médecins qui arrivent, mais de faire en sorte qu'ils attendent leur tour, comme le fait un notaire pour poser une nouvelle plaque.
S'agissant toujours du conventionnement, cessons de nous payer de mots : il existe un secteur 1 et un secteur 2, cher Olivier Véran. Lorsque l'on exerce en secteur 1, on n'applique pas des honoraires de secteur 2, ou alors cela s'appelle un dépassement d'honoraires. Les actes réalisés par un biologiste – je parle en connaissance de cause – sont-ils remboursés s'ils ne sont pas accrédités ? La réponse est non. Cessons donc de brandir l'argument du conventionnement partiel : celui-ci existe déjà ; dire le contraire serait mentir, et nous ne le ferons pas ce matin.
S'agissant du numerus clausus, Olivier Véran a dit, dans un grand journal, qu'il s'agissait d'une promesse du président Macron, …