La démonstration que j'ai développée, c'est qu'un être humain est non seulement capable d'apprécier l'infraction au regard de la vitesse mais a aussi d'autres facultés intellectuelles qui lui permettent d'œuvrer à ce qui est censé être l'objectif, à savoir la sécurité routière. Je déplore donc vos arguments, qui en réalité n'en sont pas.