Là encore, l'amendement vise à rétablir des dispositions adoptées au Sénat.
L'amendement tend à supprimer pour les maires les « peines plancher », qui témoignent d'une défiance quant à la capacité des élus et des préfets de prendre les sanctions appropriées au regard des circonstances locales et de la volonté d'imposer un minimum automatique de sanction, alors même que le prélèvement constitue déjà une sanction.