Comme Maina Sage et Jimmy Pahun, ma collègue Sophie Panonacle et moi-même souhaitons que les équipements des navires utilisant la propulsion vélique auxiliaire bénéficient d'un taux de suramortissement de 105 %, contre seulement 20 % aujourd'hui. Il est urgent d'encourager la réduction des besoins énergétiques des navires pour décarboner nos modes de transport. L'application d'un taux de suramortissement cohérent et incitatif permettra de rendre le dispositif applicable et de donner de la visibilité à la filière, aux motoristes et aux équipementiers.