Je souhaitais que les députés puissent défendre ces amendements identiques, car ils sont nombreux à avoir participé aux discussions. Je vous propose de ne pas entrer dans un débat – comme c'est parfois le cas – sur la responsabilité des uns ou des autres. Nous partageons la volonté de régler cette difficulté et de permettre à chacun de faire face – en l'occurrence, en disposant de 50 millions d'euros pour financer les investissements.
M. Castellani m'a notamment interrogé sur les modalités d'utilisation de ces fonds, rattachés au PTIC, et je mesure l'inquiétude de certains élus corses, puisque beaucoup des investissements éligibles au PTIC y sont inscrits. Une souplesse d'utilisation de ces 50 millions d'euros est nécessaire. L'État en fera preuve, je m'y engage : l'objectif est que la collectivité de Corse puisse utiliser cette somme pour financer des investissements courants.