Si j'ai répondu au premier amendement, ce n'est pas parce que je l'ai choisi – je ne me permets pas ce luxe –, mais parce que je réponds aux amendements qui ont un lien avec les crédits budgétaires. Or ce n'est pas avec des crédits budgétaires qu'on augmente le SMIC. Ce dernier relève d'un débat politique que nous avons largement eu depuis le début de cette crise, voilà dix-huit mois, et vous connaissez suffisamment mon opinion en la matière. Ce n'est pas sur de tels amendements que doit porter notre discussion.