Je peux vous suivre, monsieur Schellenberger, à propos de l'augmentation des crédits du FDVA, car non seulement le maillage associatif français représente une richesse à de nombreux points de vue, notamment culturel ou sportif, mais il a souvent aussi servi d'amortisseur social durant toutes les crises que nous venons de traverser. Compte tenu des réductions budgétaires subies par les associations et de la baisse du nombre d'emplois aidés, il ne serait pas inutile de chercher à renforcer le tissu associatif.
Je ne vous suivrai pas, en revanche, à propos du cumul des mandats, parce que cette question n'a rien à voir avec le FDVA et parce que le fait d'y avoir mis fin s'inscrit dans une vraie modernité et permet de renouveler un peu la classe politique française.