J'entends bien, monsieur le rapporteur général, que vous avez quelques états d'âme et que vous auriez préféré un vecteur législatif plutôt qu'un recours aux ordonnances, dont le Gouvernement est un champion : effectivement, ce n'est pas raisonnable. D'ailleurs, je ne comprends pas – peut-être M. le ministre délégué me répondra-t-il sur ce point – pourquoi cette habilitation ne figure pas plutôt dans le projet de loi relatif à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l'action publique locale, dit 3DS.