La présidence de l'Union est, pour tout pays, un événement politique majeur, car il s'agit d'assumer la responsabilité institutionnelle qui permet la bonne avancée des négociations au Conseil de l'Union. Cette responsabilité est pour nous d'autant plus grande que, traditionnellement, les présidences françaises suscitent beaucoup d'attente, autant chez nous que chez nos partenaires. Cette responsabilité est encore accrue par le contexte très particulier d'une crise sanitaire inédite, qui n'est pas encore terminée.