En 2006, l'Allemagne avait échangé sa présidence du Conseil de l'Union européenne avec la Finlande afin d'éviter la concurrence entre les élections et la présidence. L'arrogance macronienne démontre une fois de plus que Jupiter veut rester au-dessus des règles. Ce mélange des genres interroge d'ailleurs quant à l'équité de l'élection présidentielle. La présidence française n'entachera-t-elle pas l'élection présidentielle d'irrégularité ?
Ensuite, l'ambition du plan français visant à tout changer en six mois en Europe est déconnectée de la réalité.