et une présidence française du Conseil de l'Union européenne atrophiée, d'autre part.
Qu'elles étaient puissantes, pourtant, ces images du Président de la République marchant vers son destin au rythme de la Neuvième symphonie de Beethoven, discourant dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne ou du haut de la colline de la Pnyx à Athènes, l'Acropole en toile de fond et l'avenir du continent entre ses mains !
Mais que reste-t-il du macronisme européen des premiers jours ? Rien, ou si peu. Usé par les tempêtes, bringuebalé par les crises, engoncé dans un égocentrisme disproportionné :…