L'approche de Noël voudrait que l'on se dise des choses gentilles mais, tout de même, il y a un certain paradoxe à débattre des priorités de la présidence française alors qu'elles ont toutes déjà été exposées par le Président de la République, comme de nombreux orateurs l'ont souligné. Pour le dire autrement, je ne suis pas certain que le débat que nous avons va influer sur le cours du prochain semestre, d'autant qu'il ne manquera pas d'être perturbé par la campagne présidentielle et par le résultat des élections.