Là aussi, il y a beaucoup à dire. Vous avez cru bon, monsieur le secrétaire d'État chargé des Affaires européennes, à l'occasion d'une interview publiée ce matin dans la presse, de vous livrer à une attaque en règle contre les grandes orientations du projet européen défendu par la candidate des Républicains, Mme Valérie Pécresse, qui serait, selon vous, condamnée à faire du « mauvais Macron » ou du « méchant Ciotti ».