Le plafond d'absences est déjà fixé à 50 % de la durée légale du travail, ce qui est déjà élevé ; il serait excessif d'y déroger sans limite, qui plus est dans le cadre d'une seule hypothèse, qui ne constitue pas le cœur du mandat pour lequel la personne a été élue par nos concitoyens. La proposition va trop loin ; avis défavorable.