…et nous avons supprimé le numerus clausus.
Mme Pécresse disait ce matin regretter que le numerus clausus ait représenté depuis dix ans une catastrophe pour la formation de médecins. Puisque vous êtes son porte-parole, vous pourrez lui rappeler, monsieur Pradié, que les médecins qui sortent aujourd'hui de promotion sont entrés en première année de médecine quand elle était, en tant que ministre, responsable des universités.