Monsieur le ministre, vous nous avez fait le Calimero. Vous n'êtes pas un perdreau de l'année, vous rendez coup pour coup. Il faut accepter, dans un débat démocratique, que les critiques fusent des bancs de l'opposition.
Comme nous risquons de nous coucher bien tard, je vous propose de répondre concrètement aux questions que nous vous posons et de ne pas nous prendre pour des imbéciles. Vous dites que le « aller vers » est une réalité dans les territoires, que les maires y sont associés. C'est faux.