Je ne sais pas si les propos du ministre constituaient une façon de me présenter des excuses mais mon intention n'est pas, de toute façon, que le dialogue devienne un bras de fer. J'aimerais éclairer nos collègues au sujet des traitements préventifs que le Gouvernement laisse de côté alors qu'ils sont utilisés dans de nombreux pays dans le monde. Vous avez cité la chloroquine, monsieur le ministre, mais depuis deux ans, beaucoup de pays utilisent l'ivermectine. Or cette solution, vous la balayez d'un revers de main, car vous n'avez à la bouche que la stratégie vaccinale. C'est ce dont j'aimerais que nous puissions parler calmement dans les heures à venir, car le passe vaccinal, lui, ne correspond en rien à l'accompagnement sanitaire dont les Français seraient en droit de bénéficier. Je le résumerai par un dicton très simple : « Une dose, deux doses, trois doses, thrombose. »